Kabila envisagerait la fuite.
Les résistants patriotiques Congolais contrôleraient les axes d’accès stratégiques. Ils se rapprocheraient de toutes les cibles. Un expatrié, hollandais, que le hasard nous a fait rencontrer, après son retour du Congo Brazzaville, dans les périphéries où s’organise la distribution des vivres et des soins médicaux, pour les refugiés des Dongo, confie que les services de secours sur place sont débordés. C’est donc en qualité de volontaire, nous confie t-il, qu’il s’est rendu sur les lieux où sont accueillis les refugiés en provenance des divers coins limitrophes de la RD Congo.Oh! quel drame humain, poursuit-il, il faut que le Président Kabila mette tout en œuvre pour éviter à ses concitoyens (sic) un bain de sang. Ses enquêtes indiquent que grâce à un mode opératoire, qui serait inspiré de la guerilla moyen orientale, les résistants sont visibles partout et nulle part.
Ouvrons la parenthèse pour signaler que le Président Sassou Nguessou déclare très préoccupante la situation provoquée par l’afflux des réfugiés de Dongo. Il en appelle à l’urgence de l’ aide internationale et aux solutions politiques.
Des solutions politiques, il en a été question lorsque le Ministre Mende, répondait à une question, lui posée, sur l’absence du CNDP au sein du gouvernement remanié :
« nous travaillons, disait-il, en substance, pour une approche plus globale et une ouverture à l’égard de tous les groupes armés ; une allusion aux patriotes résistants congolais ( PRC).
Monsieur Ambroise Lobala Mokobe, porte parole des patriotes résistants ( PRC), serait recroquevillé dans son maquis multi espace. Il serait occupé à marquer du rouge tous coins à l’actif de son mouvement. Il travaillerait à empêcher que le pouvoir en place à Kinshasa ne souille le 50 è anniversaire de la souveraineté nationale. Il est donc exclu que PRC entre en contact, comme souhaité le pouvoir, finissant, de Kinshasa.
Aussi, il nous revient que le ministre de l’intérieur de la province de l’équateur est limogé. Il lui serait reproché de n’avoir pas empêché la fuite des militaires et leur ralliement aux résistants. L’on déplore la disparition des munitions, la désertion des militaires etc. Le gouverneur de l’équateur ne contrôlerait que le 1/3 de la province.
Aux dernières nouvelles, Joseph Kabila passerait son temps, non seulement à imaginer sa fuite, mais plus, à négocier le lieu d’un éventuel accueil. C’est dans ce contexte que le tandem banyamulenge :Vital Kamerhe, Déogratias Bugera, Azarias Ruberwa devaient obtenir des pays anglo-saxon le quitus pour succéder au » Raïs ». Niet, leur aurait fait savoir le président Barak Obama, après avoir rejeté leur demande de les recevoir.
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